Ashleigh est à l'université et elle décroche une interview avec
Roland Pollard un célèbre réalisateur. Elle va en profiter pour
passer quelques jours à New York avec son petit ami Gatsby. Mais
rien ne va se passer comme prévu. Rolland Pollard est en proie au
doute et va disparaître. Ashleigh va alors se mettre à sa recherche
ce qui va la conduire à faire face à des situations toutes aussi
incroyables les unes que les autres.
Et c'est bien là le côté intéressant de ce Woody Allen, c'est
l’enchaînement effréné des événements, pour finir par une
révélation plus qu'incroyable. Et c'est ce qui fait qu'on a envie
de rester jusqu'au bout du film.
En effet les personnages eux sont aussi creux les uns que les autres.
On a une jeune journaliste assez crédule, son petit ami blasé plein
aux as et enfin un réalisateur dépressif et alcoolique.
On a du mal à s'identifier à ces personnages et à avoir de
l'empathie pour eux, tellement ils semblent prisonnier d'un mode de
vie qui accorde beaucoup d'importance aux apparences que ce soit dans
la haute bourgeoisie ou dans le milieu du cinéma.
Et puis enfin ce film est une comédie romantique assez alambiquée
et triste. Avec des couples qui eux aussi sont plus des apparences
qu'autre chose.
Enfin un dernier mot sur la scène finale de ce Woody Allen qui est
un remake ou un plagiat (au choix) de la dernière scène de quatre
mariage un enterrement avec Hugh Grant et Andie Mc Dowell scène qui
se déroulait un jour de pluie mais en Angleterre.