lundi, décembre 15, 2008
burn after reading
Le définition même du film est risquée. Est ce un film d'espionnage ou comique? Nous n'aurons probablement jamais la réponse.
Cela aurait pu être un film assez simple pour passer le temps si la complexité et le côté loufoque ne nous avaient pas achevés.Bref un film a prendre uniquement au premier degré sous peine de grosse migraine.
dimanche, novembre 30, 2008
Mesrine l'ennemi public numero 1
Film très long mais très dynamique et très bien réalisé.Plus conventionnel que la première partie l'action prime non sans une dimension politique ou idéologique. Un film très riche donc qui n'est pas sans intérêt et qui revisite une partie de notre histoire. Bien sur le film est une fiction mais ses dimenstions historique et politique enrichissent considérablement le film. Quoi qu'on en pense ces deux "épisodes" feront référence dans le traitement de ces épisodes de l'Histoire contemporaine de notre pays.
Two lovers
Sans aucun doute un des meilleurs film de l'année. Pas seulement parce que les hommes n'ont pas le mauvais rôle dans une comédie dramatique mais car à la fois le scénario et la réalisation sortent du lot. Les cotés irrationnels d'une histoire d'amour sont ici exacerbés ce qui nous rend littéralement accro au film. Bref un film très difficilement descriptible mais très réussi ou la question que l'on se pose en sortant est de savoir si le véritable amour n'est pas celui qui n'est pas assouvi?
La blessure
Film proposé dans le cadre lumières d'Afrique, il décoit à cause de sa longueur et de ses longueurs. Comment sauver un film dans lequel au moins 5 minutes sont consacrées à des lans fixes de personnages dans le métro? Le montage est donc une vraie catastrophe, ce qui est vraiment grave car le message véhiculé par le film est très important. Un film qui dénonce les dérives de l'immigration et les conditions de vie dans les centres de rétentions ne peut se permettre une mise en image aussi peu réussie.
samedi, novembre 08, 2008
Home
Ce film avec un caractère social assez fort est très touchant et dénonce le drame que peut être parfois une expropriation. Dans ce cas les habitants d'une maison n'ont pas choisi de partir suite à la réouverture d'une autoroute à quelques mètres de leur porte d'entrée. Bien sûr ici la situation est exagérée, mais ceci ne fait que d'emplifier le caractère engagé de ce film. Bref, un film assez étrange qui laisse une impression très étange.
Mesrine l'instinct de mort
Première partie adaptée d'une oeuvre autobiographique et le résultat est surprennant. Bien sûr le film est violent, bien sûr certaines scènes sont difficiles à supporter mais paradoxalement le personnage de Mesrine est d'un certain côté attachant.Ceci tient surement dans le fait qu'il soit revenu meurtri d'Algérie ou en sa qualité de père de famille. Bref c'est un film à la fois à charge et à décharge concernant le personnage de Mesrine. Cet équilibre rend ce film passionnant. La suite le sera t'elle autant?
Quantum of solace
Peut être la plus grande déception de cette année. Les James Bond ont suivi l'air du temps et peut être pas en bien. En effet, on ne voit plus la différence entre cette série et des films d'action très classiques. Bref trop d'actions, de violences et d'effets spéciaux sont entrain de tuer le genre. La suite au prochain épisode?
Vicky Christina Barcelona
Quel bonheur de voir un film américain se moquer de ses propres concitoyens. A se demander si W Allen est vraiment américain? Bref outre un casting sublime c'est surtout l'opposition de style entre les vies des deux héroines qui marque le film. Leur passage en Europe, si plus est en Espagne va remettre en doute leur style de vie sans qu'elles n'arrivent vraiment à se trouver réeelement. Bref, se remettre en question a souvent des vertus tout comme se confronter à d'autres cultures.
jeudi, septembre 18, 2008
Le silence de Lorna
Le drame de l'immigration est ici décrit avec violence et franchise ce qui fait de ce film à la fois un film engagé voir presque documentaire. Paradoxalement la seule victime est un camé "local" victime d'un trafic de papiers. La leçon que l'on pourra tirer est que les trafics s'installent là où la législation est floue voire injuste.
lundi, septembre 08, 2008
Jar city
L'Islande l'autre pays de l'horreur. Tel pourrait être le sous-titre de ce film. L'autre intérêt de ce film réside dans ces paysages sorte de carte postale promotionnelle pour les personnes aimant les grands espaces et les paysages imposants.
L'intrigue est elle bien ficelée et accentuée par des scènes d'horreur plus ou moins intenses comme le moment ou le policier va au fast food du coin commander une tête d'un animal étrange et la dégustant tranquillement chez lui. De quoi faire froid dans le dos
mardi, juillet 22, 2008
Au bout de la nuit
Quoi de plus classique q’un film sur la corruption dans la police. Une excuse pour intégrer des scènes hyper-violentes dans un film, happy-end oblige, politiquement correct. En effet, ce sont les petits que l’on accuse et c’est finalement le gros bonnet qui trinquera. C’est bien dans ce rebondissement que réside le mince intérêt du film. Heureusement donc que la fête du cinéma existe et que les salles sont climatisées…
Sagan
Sagan, après Piaf ! Tel aurait pu être le titre de ce film. En effet, il est difficile de ne pas penser à priori à ce succès du cinéma français de l’année dernière en allant voir ce film. La performance de Sylvie Testud est d’ailleurs comparable à celle de Marion Cotillard.
Bref c’est la vie dissolue de Sagan nous maintient en alerte tout au long du film, l’intrigue étant de savoir quand elle passera le point de non retour.
Il n’est pas évident qu’un troisième film biographique trouve sa place sur nos écrans, la mode serait donc passée ?
Turbulences
Las Vegas 21
Un bon film sur les mathématiques et les surdoués ! Ennuyeux me direz vous ? Et bien non, et c’est bien cet antagonisme entre une fac de math et la vie dissolue de Las Vegas qui fait l’intérêt du film.
Bien sûr le rêve américain ou l’ascenseur social (comme on dirait en France) sont bien sûr très largement valorisés. Mais ce film n’est il pas tiré d’une histoire vraie ?
Au delà de cet habile habillage, la morale est sauve car tout se finit bien (le happy end est une autre caractéristique des grandes productions hollywoodiennes).
Rien de bien original donc mais un film bien construit, très efficaces et très divertissant.
dimanche, juin 08, 2008
Ezra
Film primé au festival lumière d'Afrique, un peu le Cannes du Doubs :)
Cannes a primé des films engagés, Ezra avait donc toute sa place. Peut être que le sort des enfants soldats africains laisse indifférent. Il est probable que le pillage des ressources du continent noir n'intéresse pas grand monde de ce côté de la Méditerranée. C'est pour toute ces raisons que ce film remarquable devient exceptionnel. Il réussi à trouver un juste équilibre entre l'information et la prise de position politique. Il nous fait mieux comprendre le monde et ses injustices. C'est pour cette raison que ce genre de cinéma devra toujours avoir sa place sur nos écrans.
Brisa Roche
lundi, mai 26, 2008
Deux jours à tuer
Voilà un film qui vous prend au début et dont l'intérêt ne cesse de croître pour finir en apothéose, triste mais intense. Vous l'aurez compris le scénario et la mise en scène sont d'une rare qualité. Mais ils sont bien servis par le duo Albert Dupontel, Marie Josée Croze. La forme si elle est importante ne prend pas totalement le pas sur le fond. On sort de ce film en nous posant la question de notre réaction face à une situation que nous espérons tous ne pas rencontrer...
mardi, avril 08, 2008
J'ai toujours rêvé d'être un ganster
fédérateur.
Néanmoins l'humanité qui se dégage de ce film assure une unité et un intérêt non négligable.
D'autres point positifs sont aussi à noter mais résident plus sur la forme. Ainsi les images en noir et blanc et les petits sauts d'images qui accélèrent le rythme sont assez remarquables.
Bref une réalisation pas forcément facile d'accès est largement compensée par une humanité très intense qui fait une grande partie du succès de ce film.
vendredi, mars 21, 2008
La graine et le mulet
Modern love
vendredi, mars 14, 2008
Bienvenue chez les ch'tis
Bref un film drôle, léger, bien joué. Tout pour passer un bon moment.
Deux choses dérangent tout de même. La promotion du conseil régional du Nord Pas de Calais est pesante. Quand un acteur dit : "je vais dans le Nord Pas de Calais" çà sonne faut et promotionnel.
Deuxième et dernière petite tâche, la virée en vélo complétement ivre au milieu du film. Même sur le ton de la comédie cette scène joue faux.
jeudi, mars 13, 2008
No country for old men
vendredi, février 15, 2008
Les faussaires
Un film sur les camps de concentration est toujours dur. Celui-ci n'essaie pas d'édulcorer les choses, même s'il décrit principalement la vie de personnes un peu moins torturées.
La cadre joue donc un rôle primordial dans ce film qui revient sur un fait de l'Histoire peu connu. En effet, la guerre économique et monétaire est un aspect très original qui fait également l'intérêt de ce film, même si celui-ci n'avait pas besoin de çà pour être intense.
Même s'il est très dur, l'intérêt historique du film finit par primer, ce qui rend cette oeuvre captivante.
vendredi, février 08, 2008
It's a free world
jeudi, janvier 31, 2008
Les climats (Festival Télérama)
Paranoid park (festival Télérama)
mercredi, janvier 30, 2008
Persepolis (festival Télérama)
Jesus Camp (festival Télérama)
La problématique est simple :les musulmans extrémistes embrigadent leurs enfants dans des camps, pourquoi les chrétiens ne feraient pas la même chose?
Le problème c'est que dans un cas on se trouve en Afghanistan et dans l'autre aux USA, pays qui se veut démocratique.
Le documentaire fait froid dans le dos et montre les limites de la protection des mineurs face à cette dérive évangéliste que l'on pourrait qualifier de sectaire.
Bref on comprend beaucoup de choses sur une réalité outre atlantique, dont on parle peu dans les médias traditionnels.
Boulevard de la mort (festival Télérama)
vendredi, janvier 25, 2008
Les promesses de l'ombre (festival Télérama)
jeudi, janvier 24, 2008
4 mois 3 semaines et 2 jours (festival Télérama)
Le contexte est donc important mais le thème abordé prend le dessus. En effet, les conséquences d'un avortement clandestin sont dramatiques. Au delà de la principale concernée, son amie va en payer le prix fort. Malgré celà la solidarité entre les deux personnages principales fait ressortir le meilleur de l'Humanité, valeur qui n'a de cesse d'être battue en brèche tout au long du film.