samedi, octobre 30, 2021

the medium (ffcp)


 A la manière d'un documentaire #themedium suit de manière sanglante la transformation d'une jeune femme possédée

a distant place (ffcp)

 

S'articulant autour de non dits #adistantplace dévoile peu a peu la complexité d'une cellule "familiale" autour d'une petite fille

vendredi, octobre 29, 2021

hostage : missing celebrity (ffcp)

 

Avec une violence bien esthetisee #hostagemissingcelebrity est un thriller certes classique mais rudement efficace

short vacation (ffcp)


 Véritable épopée des temps modernes #shortvacation ne mène quatre adolescentes que jusqu'au terminus de leur ligne de métro

homeless (ffcp)

 

Froidement opportuniste #Homeless fait se croiser les drames de la solitude et du logement

sinkhole (ffcp)


 Mélange étonnant entre une comédie potache et un film catastrophe #sinkhole nous offre un divertissement genialissime

jeudi, octobre 28, 2021

Moving on (ffcp)

 

Le deuil du grand père dans #movingon est une épreuve supplémentaire pour une famille peu épargnée par la vie

corydoras (ffcp)

 


Utilisant à merveille quasi exclusivement des plans fixes #corydoras est une chronique de la vie d'une personne handicapée trouvant dans la poésie un échappatoire

mardi, octobre 26, 2021

mon légionnaire

 


Chronique quasi documentaire #monlegionnaire n’élude pas certaines questions sensibles

dimanche, octobre 24, 2021

the french dispatch

 


Acidulé et poétique #thefrenchdispatch réinvente le film a sketchs dans une France carte postale pour américains

mercredi, octobre 20, 2021

l'homme de la cave


 Thriller psychologique insidieux #lhommedelacave replonge une famille dans le drame vécu par leurs ancêtres

lundi, octobre 18, 2021

Julie en 12 chapitres

 


Comédie romantique post-moderne #julieen12chapitres flirte avec une douce utopie aussi joyeuse que mélancolique

dimanche, octobre 17, 2021

le dernier duel

 

Particulièrement bien construit #LeDernierDuel montre que le traitement des affaires de viols n'a malheureusement pas beaucoup évolué depuis le moyen âge

jeudi, octobre 14, 2021

Debout les femmes

 

Le nouveau film de François Ruffin et Gilles Perret

Francois Ruffin député de la Somme a été chargé avec Bruno Bonnel député de la Haute Savoie d’un rapport parlementaire sur les métiers du lien.

Pour cela fin 2019 et en 2020 pendant le confinement ils sont partis à la rencontre des auxiliaires de vie, des accompagnantes des élèves en situation de handicap, de femmes de ménages. Toutes ces professions ont en commun d’être essentiellement féminines, d’être payées à l’heure, d’avoir de grandes amplitudes horaires et de procurer des revenues en dessous du SMIC. Le documentaire force le respect en montrant la dévotion de ces femmes envers les publics fragiles qu’elles accompagnent.



Les portraits de cette dame âgée qui est clouée à son lit ou encore de ce monsieur cloué à son fauteuil roulant suite à un AVC sont très forts.

François Ruffin comme dans ses autres documentaires merci patron ou jveux du soleil se met en scène mais toujours pour mettre dans la lumière les personnages de son documentaire.



Enfin je retiendrai 2 points. D’abord les cuisines, celle de Francois Ruffin est banale celle du député Bonnel est très luxueuse alors que celle de cette vieille dame alité est faite de bric et de broc.

Et puis pendant les auditions on voit en arrière plan ces jeunes assistants parlementaires en costumes cravates qui prennent des notes sur leur ordinateur et qui contrastent avec ces femmes qui s’investissent au service des autres pour un salaire de misère. La rencontre entre ces deux mondes est saisissante.

Un très beau film documentaire qui rend visibles des femmes invisibles telle est l’expression d’Emmanuel Carrère le réalisateur de Ouistream qui traite du même sujet et qui sortira en janvier prochain. Et un documentaire sur ce que devrait être le travail de député.



mercredi, octobre 13, 2021

Eiffel

 

Biopic signé Martin Bourboulon le réalisateur de deux de vos films préférés Christophe, papa ou maman 1 et 2,





Eiffel après avoir participé à la construction de la statue de la liberté voudrait bien construire le métro de Paris. Mais le Ministre a d’autres idées, il voudrait un grand monument pour l’exposition universelle. Ce sera une tour, dont la hauteur dépassera celle de Notre Dame de Paris. Et pour construire cette tour de métal Eiffel aura besoin d’une muse ce sera Adrienne (Emma Mackey) la femme d’un journaliste qui n’est autre qu’un de ses amis de prépa Antoine (Pierre Deladonchamps abonné aux rôle de méchants).






Avant d’être le récit d’une odyssée industrielle ce film est surtout une comédie romantique très sirupeuse. On va voir comment Eiffel et Adrienne se sont rencontrés à Bordeaux, comment ils se sont aimés avant qu’Adrienne ne disparaisse. Et des années plus tard l’amour est toujours présent. Eiffel lui est veuf mais Adrienne est mariée.



La comédie romantique est ultra présente et les nombreux « Adrienne » qui parsèment le film me font penser plus à Rambo à savoir un combat perdu d’avance pour un amour impossible.



Accessoirement on apprend également quelques petites choses sur la construction de la tour Eiffel. Les embûches politiques et surtout les innovations technologiques. Bien sur la structure en métal et ajourée pour la résistance aux intempéries. Mais surtout ces systèmes à air comprimés pour ancrer de manière solide les fondations dans les sols les plus difficiles.

Eiffel le film idéal donc pour avoir sa dose de sucre .

lundi, octobre 11, 2021

mourir peut attendre

 


Un film de Cary Joji Fukunaga et le dernier James Bond pour Daniel Craig.



James Bond passe une retraite assez confortable dans les caraïbes, jusqu’au moment où son ami de la CIA Felix vient le chercher pour récupérer un scientifique russe travaillant pour le MI6 qui s’est enfuit d’un laboratoire ultra secret de Londres.



James Bond va alors reprendre du service pour détruire une arme biologique qui va menacer de supprimer des parties bien précises de l’humanité.



La première faiblesse du film est son scénario. Là où les James Bond et les films similaires d’autres franchises comme mission impossible ou Kingsman affichent une vraie progression, mourir peut attendre fixe tout de suite les enjeux sans laisser de place à une vraie progression. Les nombreuses scènes d’actions et les changements de décors peinent à masquer la faiblesse du scénario. 



Autre faiblesse, mourir peut attendre veut s’afficher dans l’air du temps notamment grâce à la pâte de Phoebe Waller Bridge (la réalisatrice de fleabag) au scénario. La nouvelle 007 est une femme métisse, Q affirme une sensibilité très développée, Marlène Swann (Lea Seydoux) est une mère célibataire avec une belle carrière de psychologue. Mais tout çà sonne faux. On sent que tous les ingrédients sont là mais que l’alchimie a du mal à se faire. Les Kingsmans je trouve s’inscrivent plus dans leur époque en dénonçant des dérives de la société contemporaine.



Mourir peut attendre a quelques points positifs, comme le personnage de Paloma (Ana de Armas) agent secrète en apparence un peu godiche mais très douée sa force étant de ne pas inspirer la crainte de ses adversaires. Il est dommage que ce personnage n’ait pas été plus exploité ou qu’il n’ait pas servit de modèle à d’autres.

mercredi, octobre 06, 2021

le sommet des dieux

 

Adaptation d’un manga signé Patrick Imbert



Entre le polar et l’enquête journalistique, ce film va tenter de déterminer quel a été le premier alpiniste à vaincre l’Everest. Pour cela un appareil photo que l’on croyait disparu va réapparaître. Fukamachi va tenter de mettre la main dessus mais pour cela il devra se frotter à un alpiniste chevronné.



Ce film définit l’alpinisme comme une passion irrationnelle qui pousse un certain nombre de ses pratiquants à risquer leur vie. Il y a cette forme de dépassement de soi et de recherche de performance et de record qui ne peut être atteinte qu’en mettant sa vie en danger. Et parfois quand cela ne passe pas cela conduit à la mort.



On a donc tout au long du film ce rapport assez humble et métaphysique des alpinisme à la mort et aux éléments.



Autre réussite du film c’est sa réalisation, son animation et ses dessins. Tout cela est remarquable. On a notamment ces scènes sur des parois rocheuses où les personnages sont dans le vide. On a alors vite le vertige et on arrive à ressentir ce que peuvent éprouver ces alpinistes plongés dans le vide et dont le vie ne tient qu’à un ou deux cordes.



Enfin on a un vrai scénario une vraie enquête avec de nombreux rebondissements qui vont mener ce journaliste sur différentes pistes.  Une très belle réussite que ce sommet des dieux de Patrick Imbert.

lundi, octobre 04, 2021

cette musique ne joue pour personne

 


Un couple à l'épreuve de la maladie #LesIntranquilles est sur le fil entre folie et génie créatif

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