lundi, août 28, 2023

animalia


 

mercredi, août 23, 2023

anatomie d'une chute

a palme d’or du dernier festival de Cannes, le nouveau film de Justine Triet qui avait signé Sybil et Victoria notamment.


Sandra (Sandra Huller) vit avec son mari Samuel dans un chalet isolé dans les alpes. Alors qu’il effectue des travaux Samuel fait une chute fatale. Sandra sera vite accusée. Elle va être défendue par Vincent (Swann Arlaud) un ami d’enfance. L’instruction et le procès seront l’occasion d’explorer les aspects les plus sombres du couple.


Plus le film va avancer plus la question centrale sera de savoir comment le couple de Sandra a évolué suite à l’accident qui a rendu leur fils Daniel malvoyant.


On sera aussi dans une sorte de voyeurisme qui va être entretenu par les interrogatoires souvent incisifs du procureur (Antoine Reinartz). C’est pour moi le personnage le plus intéressant et le plus volubile du film.


Un film impudique un film un film également qui nous plonge dans une forme de malaise car Justine Triet nous laisse volontairement dans le doute, un doute qui nous ronge.


Et c’est peut être une des raisons de sa palme d’or car ce film provoque chez nous une sensation physique de malaise.


 

lundi, août 21, 2023

mardi, août 15, 2023

les tournesols sauvages

Les galères ordinaires d'une jeune mère dans #lestournesolssauvages rendent son personnage principal attachant #cinemavictorhugo
 

jeudi, août 10, 2023

la voie royale

 C'est quand il pose la question du sens des études que #lavoieroyale dépasse son aspect documentaire sur les classes préparatoires #cinemavictorhugo #besancon

mercredi, août 09, 2023

zone de turbulences


 

La réunion de personnages phobiques de l'avion dans #zonedeturbulenceme met en lumière des névroses plus profondes amplifiés par des modes de vie artificiels #cinemavictorhugo #besancon

dimanche, août 06, 2023

gran turismo

 


Du virtuel au réel
#GranTurismo bien que très romancé, reste une très belle histoire, vraie de surcroit

vendredi, août 04, 2023

le colibri


 
Grâce à des sauts erratiques dans le temps #lecolibri retrace la vie d'un homme hanté par son amour de jeunesse

jeudi, août 03, 2023

yannick

 

Le denier film de Quentin Dupieux qui en est à sa 5eme semaine d’exploitation, un film tourné en à peine 6 jours et qui aujourd’hui est le plus grand succès de ce réalisateur très atypique.


On est au théâtre, une salle assez clairsemé assiste à une pièce un vaudeville interprété par Blanche Gardin, Pio Marmai et Sébastien Chassagne. Yannick (Raphaël Quennard) un spectateur se lève et interrompt les comédiens. S’en suivra une prise d’otages assez rocambolesque.


Ce film est une véritable performance d’acteur taillé pour Raphaël Quennard jusque là cantonné à des seconds rôles.


Il en dit long aussi sur le rapport que l’on a à la culture. Yannick vit en banlieue travaille de nuit et à peu l’occasion d’aller aux spectacles. Son esclandre montre bien que l’art doit être accessible à tous et ne pas parler qu’à une pseudo élite.


Et c’est parce qu’il casse les codes que Yannick est d’ors et déjà un vrai succès un film qui a rencontré son public, même si les films de Quentin Dupieux sont à eux seuls un genre cinématographique.


On est dans un cinéma populaire, absurde et ce n’est pas parce que le film est très court qu’il n’a rien à dire bien au contraire.



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