mercredi, décembre 29, 2010

Pied nu sur les limaces


Film poignant voir tragique tant les effets de drames familiaux successifs peuvent devenir insupportables. On se rend d’ailleurs compte que ce ne sont pas ceux qui ont l’air le plus touchés qui le sont réellement. Un film subtil mais qui a tendance à traîner en longueur ce qui rend la dérive des deux victimes de plus en plus difficile à supporter.

dimanche, décembre 26, 2010

We are four lions


Une comédie traitant de kamikazes dans un pays engagé en Afghanistan est un pari risqué mais admirablement réussi, au point qu’on se sente coupable de rire de scènes tragiques. Un film de fond avec un vrai message, donc mais amené avec humour. Ceci donne énormément de force au vecteur de ce message.


lundi, novembre 29, 2010

L'homme qui voulait vivre sa vie

Le projet de faire deux films d’une heure environ enchaînés est une idée novatrice qui apporte du rythme au film. Le scénario entre polar relativement classique et fantasme pur de tout plaquer pour recommencer sa vie de rien est à la hauteur de ce projet très réussi. Le contraste saisissant entre une petite bourgeoisie parisienne très imbue d’elle-même et le nouvel environnement du personnage principal est l’autre réussite du film. Film complexe, abordant beaucoup de thèmes différents, mais qui a su garder un rythme soutenu et une intrigue toujours vivace.

samedi, novembre 27, 2010

Le nom des gens


On retrouve ici presque l’univers du conte, tellement l’écriture est exceptionnelle. Elle est bien sur ponctuée par des répliques phares : « tu es juif je suis arabe c’est comme si 2 parties de la France faisaient l’amour » « faisons plein de petits bâtards comme çà il n’y aura plus de fachos » ou encore une scène hilarante sur le champs lexical relatif aux juifs. De plus cette écriture est servie par de très bons acteurs qui la valorise encore plus. Ce conte, offrant une vraie réflexion sur notre société, est donc une réussite à la condition de voir ce film sous cet angle et non comme une pseudo comédie se basant sur des faits d’actualité.

samedi, novembre 20, 2010

Potiche


Une des principales réussites de cette comédie réside dans le fait d’avoir réussi à transposer l’histoire dans un passé relativement proche pour nous être familier. De plus le caractère hyper positif du film le rend très agréable à regarder. Le personnage joué par C Deneuve est d’une incroyable sérénité. Elle n’hésite pas à reprendre l’entreprise familiale, aide ses enfants à se construire en dominant leurs difficultés, rend toute sa dignité à la secrétaire de son mari, assume son rôle d’épouse et de mère de famille ainsi que ses aventures passées, avant de se mettre au service de ses concitoyens. Un film plein d’humanité donc qui tranche beaucoup avec la société actuelle.

jeudi, novembre 18, 2010

La vie au ranch

Chronique assez réussie d’un groupe d’étudiants parisiens vivant à l’intérieur d’un groupe à géométrie variable. Chronique donc d’une certaine jeunesse en quête d’identité et qui essaie de profiter de la vie. Et c’est bien là le principal intérêt du film qui nous montre que la réelle richesse réside dans les liens que l’on peu tisser ou défaire avec les autres. Ode donc à la simplicité de la vie qui atteint son apogée dans une collocation berlinoise qui symbolise un avenir doré. La passerelle entre un village du massif central et cette vie berlinoise symbolise à merveille une évolution très rapide des modes de vies.


samedi, novembre 13, 2010

Disgrace


L’Afrique du sud post apartheid est un pays où la violence est encore très présente et c’est ce qui ressort de ce film très cru. Le paradoxe entre un père qui abuse de ses étudiantes et qui va protéger sa fille suite à un viol est aussi très saisissant. Le film pose aussi la question de savoir ce qu’il faut accepter au nom de la réconciliation nationale. Une mention spéciale aux images qui font ressortir toute la beauté des paysages sud africain. Enfin la question de l’avortement suite à un viol est aussi sous sous-jacente à ce film, mais est contre balancée par une critique parfois acerbe de la religion catholique.

jeudi, novembre 11, 2010

Le fil

Le mot engagement prend ici tout son sens. Pas forcément dans le combat pour les droits des homosexuels précisément mais plus généralement pour les libertés en Tunisie. Preuve aussi que le cinéma africain peut être engagé et traiter de sujets importants de société sans forcément tomber dans la gravité. C’est la force du film que de proposer une histoire légère et positive au service de la démocratie et de la liberté. Film servi magnifiquement par Claudia Cardinale qui s’engage dans ce combat pour son pays et sans qui ce dernier n’aurait pu être tourné.


mercredi, novembre 10, 2010

Un transport en commun


Comédie musicale sénégalaise nous faisant découvrir les joies des taxis entre Dakar et Saint Louis. Film accessible même aux personnes n’ayant que peu de sensibilité à ce genre cinématographique, ce film tranche par son originalité et sa fraîcheur.

mardi, novembre 09, 2010

Benda bilili


Le film de l’année très probablement. Histoire très émouvante de musiciens de Brazzaville atteints de polio et qui vont perdre leur toit. Découverts par des documentaristes français, ceux-ci vont les aider à réaliser leur rêve, enregistrer un disque et s’acheter un matelas ! Bref il y avait eu Buena Vista social club, mais Benda Bilili n’est sans commune mesure. Où quand le rêve devient réalité….

lundi, novembre 08, 2010

Un homme qui crie


Film très dur témoignant des conséquences de la guerre civile au Tchad sur la population. Un film très engagé donc qui montre l’exploitation d’un ancien champion de natation obligé de travaillé comme maître nageur dans un hôtel pour blancs à Dakar et comment la guerre civile va lui coûter son fils qu’il sera contraint de « donner » à l’armée. On notera également une dimension religieuse intéressante où la guerre et ses horreurs arrivent à faire douter des hommes très croyants.

lundi, novembre 01, 2010

The American


On se croirait un peu dans le 13h de la première chaîne, à la redécouverte d’un métier artisanal dans un petit village d’Italie : fabriquant de fusil à lunette. Au-delà de cette véritable ode pour le travaille d’orfèvre le film se déroule sur un rythme relativement calme, ponctué de quelques scènes d’actions disséminées le long du film pour réveiller le spectateur. Seule la solitude du personnage principal est touchante, solitude qu’il va briser avec un prête et une prostituée, original non ?


samedi, octobre 30, 2010

The social network

Docufiction ou réel film? La question peut légitimement se poser. Le plus interessant est de comprendre comment facebook s'est crée et pourquoi.Ensuite comme toute réussite celle ci provoque des tensions et des luttes pour que chacun puisse en tirer le plus possible. Bref c'est presque ce côté de la nature humaine qui est le plus mis en valeur. Enfin pourquoi faire un film alors qu'un bon documentaire de 45 minutes aurait bien fait l'affaire.

dimanche, octobre 10, 2010

Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu

Les relations humaines sont très complexes et fragiles, tel pourrait être l'esnseignement de ce film. Quelques que soit les générations les hommes auraient tendance à chercher de nouvelles relations avec des femmes plus jeunes.Quand aux femmes elles seraient attirer par le mystère (d'un homme marié ou du paranormal) Bref quand on réunit autant de personnage tous aussi perdus les uns que les autres celà peut donner un film un peu brouillon. C'est la faille que ce film n'a pas totalement su éviter. A défaut d'être un film complaisant et réussi il peut être révélateur d'une époque.

jeudi, septembre 30, 2010

Happy few


Un vrai concentré de bonheur et de simplicité. Dans nos sociétés « modernes » ou on passe son temps à courir après quelque chose, un film simple, avec une certaine lenteur et mettant en scène des personnages heureux est une vraie sinécure. Bien sur les relations à quatre, même si elles sont assumées finissent toujours mal, mais ici les avantages semblent prendre le pas sur les inconvénients. Au-delà de ces aspects de couple, la vraie force du film réside dans la démonstration qu’il faut apprendre à vivre à son rythme. En résumé un film à contre courant des tendances de l’époque mais qui fait un bien fou !

lundi, septembre 27, 2010

the housmaid


L'esthétique est très travaillée ce qui rend ce film très agréable à voir. Celle ci tranche particulièrement avec le traitement
infligée à l'héroïne du film. Cette opposition frontale entre deux mondes, sans réelle lutte des classes est
la voute du film. Enfin le plus choquant est peut être que cette exploitation est sans fin puisque le réalisateur
sous entend fortement que les mésaventures de l'héroïne ne sont qu'une pale copie du sort de sa collègue plus âgée.
Bref un bon film coréen, lent et très bien filmé dénonçant une des formes les plus amorales d'esclavagisme moderne.

dimanche, août 29, 2010

Tamara Drewe


Le sujet est aussi viuex que le village qui sert de décors au film.L'adultère, le fait que l'on ne se soit intéressé que par les choses que l'on ne peut pas avoir ou encore le fait que l'on soit incapable de reconnaître les gens formidables dans notre entourage sont vraiment des thèmes ultra classiques.Heureusement que les deux ados complétement allumées qui pourraient être au casting de skins sauve légérement l'ensemble bien fade.

jeudi, juillet 29, 2010

Tournée


Sorte de road movie de la vie d'artiste, ce film est une vraie réussite. Il montre les coulisses de la vie de groupe. Il nous fait aussi découvrir le côté attachant de ces streap teaseuses néo burlesques avec leurs doutes, leur talent et leur humanité.
Une vraie leçon de vie donc sans réel intrigue, mais un scénario bien construit, nous faisant découvrir de l'intérieur la vie de cette bande éphémère.

lundi, mai 24, 2010

Dans ses yeux

Ce polar est relativement original puisqu'il se situe au sein de l'institution judiciaire argentine très peu connue celà va s'en dire.
Il est aussi marquant par la tenacité du personnage principal à résoudre l'enquête et également à séduire la femme qu'il aime.Il a également pour grande qualité de dénoncer les dysfonctionnements du système judiciaire sans pour autant dénigrer tous ses acteurs bien au contraire.
La fin du film présente quelques longueurs mais est relativement déroutante ce qui accroche tout de même le spectateur jusqu'à la fin.

jeudi, mai 06, 2010

8 fois debout

Bien qu’on assiste tout au long du film à sept fois tombé, ce film est une grande leçon de courage et d’abnégation. Il dépeint le quotidien d’une mère de famille et de son voisin dont la lutte pour trouver un travail est incroyablement pénible. Il montre aussi comment le travail et le statu social qui en découle sont une condition indispensable et préalable à tout autre statu social dont celui de mère de famille. Un film sans concession, donc forcément dur mais débordant d’humanité. Il fait aussi passer un certain nombre de messages sur les dysfonctionnements de notre société.

vendredi, avril 30, 2010

Mammuth


Film à contre-pied par rapport à l’attente très grolandaise qu’il a suscité. L’humour n’est pas ici prédominant au contraire. La dimension sociale et humaniste est ici remarquable. La thématique de la retraite pour des personnes ayant enchaîné des travaux peux valorisant et difficile est formidablement mise en avant. On n’atteint pas forcément la dimension dramatique d’un film de Ken Loach, mais il est indéniable que ce film est engagé. Bref il est agréable de revenir les deux pieds sur terre, au contact de la vraie France.

mercredi, avril 14, 2010

Les invités de mon père

C'est un peu le stéréotype du film bien pensant, mettant en scène une famille bourgeoise parisienne. Un film donc à priori pas forcément grand public. Le comble de l'énervement réside dans le personnage de la petite fille, militante contre l'expulsion des sans papiers. Bien sûr cette cause mérite d'être défendue, mais la manière dont elle est présentée tendrait à donner le résultat inverse.
Car ce qui est énervant, c'est qu'à la moindre difficulté, les réflexes protectionnistes et petit bourgeois ressortent, le prix étant payé par les gens ayant besoin d'aide... Deux points positifs néanmoins de cette remise en question, la naissance du personnage joué par K Viard qui semble découvrir la vie et le fait qu'il plane tout au long du film une sorte d'incertitudes et de non dits qui donnent un petit intérêt à la réalisation.

mardi, avril 13, 2010

La rafle

Un film destiné à perpétuer le devoir de mémoire n’est que difficilement critiquable car l’objectif du film dépasse largement la forme. Au-delà de ce préambule nécessaire la rafle n’a pas la dimension poétique que pouvait avoir la vie est belle. La faute peut être aux étoiles du cinéma français comme Jean Réno et Gad Elmaleh qui n’apporte aucune plus value par rapport à d’autres acteurs tellement la description du fait historique est prédominante. Un film plus utile qu’original donc pour résumer.

dimanche, mars 28, 2010

Blanc comme neige


Polar très bien réussi et dont la dramaturgie ne cesse d’augmenter tout au long de l’histoire pour atteindre un point d’orgue forcément tragique. La tension n’était pas évidente à tenir tout au long du film mais les scènes d’actions succèdent à des passages où la tension psychologique est très bien transposée à l’écran. Bref, aucun moment de répit ne permet au spectateur de souffler. Un film donc très typé, mais une vraie réussite.

L'arnacoeur


Ou comment les seconds rôles volent la vedette aux personnages principaux. Cette comédie plutôt bien ficelée est efficace. Autant les interventions des deux personnages principaux sont presque trop surjouées voir énervantes, milleuses ou bling bling, autant les personnages secondaires dont F Damiens apportent de la légèreté et de l’humour dans ce film.

Bref, à défaut d’être un grand film, il remplit son rôle de divertissement et joue principalement sur les contrastes entre les deux « stars » très décevantes et des personnages secondaires d’une efficacité redoutable.

mercredi, mars 03, 2010

Une education

On pense tout de suite au cercle des poètes disparus. Une tête bien faite mais pourquoi? Pour les femmes, la seule finalité était à cette époque le mariage. On mesure ains les avancées (encore trop faibles?) qu'ont fait nos sociétés ces dernières années.Presque un hymne du féminisme mais qui n'exclue personne, bref une vraie réussite.
Le style très rétro met en lumière des problématiques bien actuelles que sont l'émancipations des femmes et le finalités de l'éducation. Carpe Diem!

dimanche, février 21, 2010

Une execution ordinaire

Film taillé sur mesure pour Marina Hands qui est une camarade médecin ayant le droit de pratiquer une médecine un peu occulte pour soigner Staline.L'hypocrisie du régime y est ici parfaitement décrite et sert de fil conducteur pour le scénario. Un film efficace donc et très prenant montrant que le régime communiste était plus basé sur la peur et la terreur que sur la recherche de l'intérêt général.

vendredi, février 19, 2010

Brothers

Film à double détente assez troublant. Le premier aspect est assez plat et ennuyeu et nous raconte l'histoire d'un jeune officier mobilisé en Afghanistan. Ce côté très favorable au soutient des troupes n'a donc que peu d'intérêt. Par contre là où le film devient interessant c'est quand il nous montre les conséquences de la disparition de cet officier sur sa famille et du stress post traumatique à son retour. De ce point de vue on ne pas légitimement être pour cette guerre mené par les Etats-unis.
Enfin, c'est un film américain donc tout se finit bien et les quelques scènes d'actions trash sont là pour reveiller le spectateur!

mercredi, janvier 27, 2010

Un prophète (festival Telerama)


Véritable claque cinématographique, malgré sa durée ce film paraît relativement court, tellement le réalisateur arrive à captiver son public. Le choix est fait de décrire probablement fidèlement l’univers carcéral au point que ce film a aussi une véritable dimension documentaire. Nous avons donc à la fois un polar, un documentaire et un drame ce qui fait de ce film une véritable pépite cinématographique. Un de meilleurs films français de ce dernières années, à ne manquer sous aucun prétexte.

Vincere (festival Telerama)


La psychiatrie comme moyen d’écarter les opposants au régime. Histoire dramatique d’une femme qui se bat pour que son enfant soit reconnu par son père, problème celui-ci s’appelle Musolini. Nous voyons ici la description de son accession au pouvoir et la manière dont il va écarter sa femme illégitime et son fils. Interprétation poignante d’une femme qui fera tout pour échapper aux griffes d’un système fasciste qui devient de plus en plus la règle. Combat en décalage avec une époque magnifiquement interprété.

dimanche, janvier 24, 2010

Whatever works (festival Telerama)


Comédie très drôle, mais un brin pince sans rire. Elle est basée sur la rencontre de deux caractères très opposés : un intellectuel hypochondriaque et solitaire et une bimbo rutilante. Les interactions entre les différents personnages sont l’essence de ce film et le rende très amusant. A la fin, les tabous, les préjugés vont finir par sauter pour arriver à une sorte de monde idéal où tout le monde assume sa personnalité sans se souffrir de la réaction des autres.
Un formidable message d’espoir qui tend à décrire une société idéale.

samedi, janvier 23, 2010

Les herbes folles (Festival Telerama)


Même si c’est un film surréaliste cela n’empêche pas de s’interroger sur sa réelle pertinence et sur son contenu. Le déroulement du scénario est brouillon et pas sauvé par la mise en image. Que reste donc t’il à ce film ? Pas grand-chose à part peut être la performance de S Azema ou A Dussolier. Même à eux deux ils ne sauvent rien. Bref cela se joue sur une histoire d’appréciation personnelle. Là chacun est seul juge.

vendredi, janvier 22, 2010

Mary et Max (Festival Telerama)


Histoire vraie mais néanmoins fantastique, habillement mise en forme grâce à l’animation assez réussie. C’est donc un moment de poésie très agréable, mais qui met en avant un certain nombre de dysfonctionnement de notre société. Ainsi les problèmes des troubles psychiatriques, de la solitude ou encore de l’alcoolisme sont magnifiquement mis en lumière. Même si l’ambiance féerique domine, on est amené subtilement à s’interroger sur notre société. Une grande réussite.

jeudi, janvier 21, 2010

Inglorious Basterds (Festival Telerama)


L’univers de Tarantino s’affirme de film en film et Inglorius Basters s’inscrit dans cette lignée. On s’inscrit ici clairement dans une fiction, exercice difficile sur une sujet sensible qu’est la seconde guerre mondiale. Mais l’intrigue est remarquablement bien construite ce qui fait que les scènes pouvant paraître violente s’inscrivent très bien dans le déroulement de l’action. Les images sont également remarquables ce qui fait que les quelques longueurs sont anecdotiques.

Un véritable chef d’œuvre porté par M Laurent et B Pitt dans la suite des Kill bill ou boulevard de la mort.

mercredi, janvier 20, 2010

Adieu Gary (festival Telerama)


Délocalisation, désoeuvrement de la jeunesse, trafic de drogue, reinsertion, veuvage, identité nationale et handicap font de ce film une radioscopie sociétale contemporaine. Au-delà de ces aspects à la fois durs et touchant c’est la personnalité de JP Bacri qui éclabousse ce film.
Même si l’accent est mis sur un certain nombre de disfonctionnements de notre société un message d’espoir prédomine. En effet, même désabusés les personnages continuent tant bien que mal à avoir un comportement globalement positif. A défaut d’un message d’espoir c’est une lueur mais si importante.

jeudi, janvier 07, 2010

Tetro

L’image, les plans et plus généralement la réalisation est très soignée. Le décalage entre une image en noir et blanc et l’Argentine contemporaine est aussi très réussi. Mais une image parfaite ne serait rien sans un scénario convaincant. Et, force est de constater qu’il est réussi la compréhension de l’intrigue n’arrivant que très tard dans le film. Les relations familiales et la recherche de ses parents sont un classique mais ici traités de manière originale.

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