jeudi, septembre 29, 2011

L'appolonide ou le souvenir de la maison close

Le côté le plus saisissant du film sont les 30 dernières secondes ou plutôt son contraste avec le reste du film.

Le générique rock nous fait penser au génialisime film Marie Antoinette mais celà n'a rien à voir.
Si on a déjà vu la série Maison close on sera plutôt décu car l'aspect témoignage est relativement mieux traité dans la série que dans le film. Néanmoins la détresse des filles, des clients et de la tenancière sont très bien mises en avant.
On pourra regretter l'absence de fil conducteur fort et l'absence d'intrigues. Là encore la série est plus pertinente que le film.
L'aspect chronique est particulièrement marqué par ces images divisés ou encore par la mise en avant des commandes particulières de ces bourgeois complètement paumés.

dimanche, septembre 25, 2011

Blackthorn

Ou la fin de la vie de Butch Cassidy. Une sorte de passation de témoin entre un hors la loi plutôt rangé et un la nouvelle génération. Les paysages boliviens et surtout le désert de sel sont saisissant.
Quelques incohérences dans le scénario sont assez drôle. On sera déçu si on attendait un film d'action mais on sera conqui par le côté réaliste du film.

vendredi, septembre 23, 2011

La guerre est déclarée


Non pas un film sur le cancer d'un jeune enfant mais le manière dont les parents vont vivre cette aventure. Et c'est le décalage entre leur joie de vivre et la situation dramatique qui est le moteur du film. L'utilisation de la musique électro et de la musique classique va renforcé cette opposition qui porte le film.

lundi, septembre 19, 2011

Présumé coupable


Non pas un film sur l'affaire d'Outrot mais de la manière dont l'huissier de justice accusé à tort a vécu l'affaire. L'intérêt du film est de dénoncer la garde à vue, la détention provisoire et aussi le fonctionnement de la justice qui ira jusqu'à ne pas reconnaître ses erreurs. Mais le problème est que la jsutice ne peut pas avoir tort... Un film poignant malgré un scénario et une réalisation minimaliste.

dimanche, septembre 11, 2011

Au revoir


Le scénario est passé au travers de la censure du régime irannien, mais sont réalisateur est aujourd'hui sous la menace d'une peine de prison et d'une interdiction de réaliser des films. La dimension politique est ici très forte et dénonce la repression de l'Etat irannien. De ce fait le film est très réussi. Mais la réalisation est aussi remarquable. A noter particulièrement l'utilisation de la peine ombre. L'absence de musique et le peu de dialogues renforcent le côte dramatique du film.

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