lundi, novembre 01, 2010

The American


On se croirait un peu dans le 13h de la première chaîne, à la redécouverte d’un métier artisanal dans un petit village d’Italie : fabriquant de fusil à lunette. Au-delà de cette véritable ode pour le travaille d’orfèvre le film se déroule sur un rythme relativement calme, ponctué de quelques scènes d’actions disséminées le long du film pour réveiller le spectateur. Seule la solitude du personnage principal est touchante, solitude qu’il va briser avec un prête et une prostituée, original non ?


Archives du blog