
Quoi de plus classique q’un film sur la corruption dans la police. Une excuse pour intégrer des scènes hyper-violentes dans un film, happy-end oblige, politiquement correct. En effet, ce sont les petits que l’on accuse et c’est finalement le gros bonnet qui trinquera. C’est bien dans ce rebondissement que réside le mince intérêt du film. Heureusement donc que la fête du cinéma existe et que les salles sont climatisées…