dimanche, avril 10, 2005

Le terminal


Vous prenez un gentil persécuté, un méchant qui au fond ne l'est pas vraiment, deux histoires d'amour plus ou moins impossibles, des amitiés franches et sincères, une happy-end et vous obtenez non pas une omelette norvégienne (papa en faisait des excellentes!) mais un Splielberg pas génial mais grâce auquel on passe deux heures sans (trop?) regarder sa montre.
Il y a quand même un fond intéressant à ce film. Prenez ma vie par exemple (mais çà doit marcher avec à peu près n'importe qui!) je viens d'une vie que je ne retrouverai pas, je suis actuellement un peu prisonnier dans une zone internationale en attendant d'aller faire signer mon autographe. Et que dire des hôtesses de l'air!!!!!

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