Le nouvel opus des aventures d’Hubert Bonnisseur de la Bath signé Nicolas Bedos et film de cloture du dernier festival de Cannes
Hubert (Jean Dujardin) va laisser la main à OSS 1001 (Pierre Niney) qui doit partir effectuer une mission en Afrique. Mais OSS 1001 est porté disparu. OSS 117 va donc aller à sa recherche et essayer d’empêcher un coup d’État.
Même si le réalisateur à changer Michel Hazanavizius étant remplacé par Nicolas Bedos on garde le même scénariste Jean Fancois Hallin qui connu ses heures de gloires aux guignoles de l’info.
Ce film regorge de clichés sur la France Afrique au moment de l’élection de François Mitterrand.
Mais ce n’est pas là l’essentiel, on est toujours dans l’absurde, dans le grotesque ceci étant renforcé par un personnage de OSS 1001 qui est l’exact opposé de OSS 117.
C’est enfin un film d’action assez simple mais efficace avec beaucoup de rebondissements qui donnent du rythme au film.
Un film avec déjà 1400 000 un vrai succès au box office surement parce qu’on peut s’identifier facilement au côté franchouillard de OSS 177. Mais ce dernier n’oublie pas d’être moderne les premières scènes du film qui font référence au mouvement me too en sont la preuve.
Un film à prendre au 2eme ou 3eme degré, qu’il faut prendre pour un bon divertissement et pour rien d’autre, qui tient plus à mon sens au talent de Jean Francois Hallein que de Nicolas Bedos.